Chant hourrite no 6
Version de Michael Levy:
This unique video, features my first of 2 arrangements for solo lyre, of the 3400 year old "Hurrian Hymn no.6", which was discovered in Ugarit in Syria in the early 1950s, and was preserved for 3400 years on a clay tablet, written in the Cuniform text of the ancient Hurrian language - The Hurrian Hymn (catalogued as Text H6) was discovered in Ugarit, Syria, in the early 1950s, and was preserved for 3400 years on a clay tablet, written in the Cuniform text of the ancient Hurrian language - except from a few earlier Sumarian fragmentary instructional musical texts from c.1950 BCE (Musical Instructions for Lipit-Ishtar, King of Justice) the Hurrian Hymn it is the oldest written song yet known, in History!
Although about 29 musical texts were discovered at Ugarit, only this text, (text H6), was in a sufficient state of preservation to allow for modern academic musical reconstruction.
In short, the Cuneiform text clearly indicated specific names for lyre strings, and their respective musical intervals -- a sort of "Guitar tablature", for lyre!
Although discovered in modern day Syria, the Hurrians were not Syrian -- they came from modern day Anatolia. The Hurrian Hymn actually dates to the very end of the Hurrian civilisation (c.1400BCE) . The Hurrian civilization dates back to at least 3000 BCE. It is an incredible thought, that just maybe, the musical texts found at Ugarit, preserved precious sacred Hurrian music which may have already been thousands of years old, prior to their inscription for posterity, on the clay tablets found at Ugarit!
My arrangement here, is based on the that the original transcription of the melody, as interpreted by Prof. Richard Dumbrill. Here is a link to his book, "The Archeomusicology of the Near East": http://bit.ly/d3aovp
It is played here, on a modern evocation of the ancient Kinnor Lyre from neighbouring Israel; an instrument almost tonally identical to the wooden asymmetric-shaped lyres played throughout the Middle East at this amazingly distant time...when the Pharaoh's still ruled ancient Egypt.
A photograph of the actual clay tablet on which the Hurrian Hymn was inscribed, can be seen here:
The melody is one of several academic interpretations, derived from the ambiguous Cuneiform text of the Hurrian language in which it was written. Although many of the meanings of the Hurrian language are now lost in the mists of time, it can be established that the fragmentary Hurrian Hymn which has been found on these precious clay tablets are dedicated to Nikkal; the wife of the moon god.
There are several such interpretations of this melody.
In my arrangement of the Hurrian Hymn, I have attempted to illustrate an interesting diversity of ancient lyre playing techniques, ranging from the use of "block and strum" improvisation at the end, glissando's, trills & tremolos, and alternating between harp-like tones in the left hand produced by finger-plucked strings, and guitar-like tones in the right hand, produced by use of the plectrum.
I have arranged the melody in the style of a "Theme and Variations" - I first quote the unadorned melody in the first section, followed by the different lyre techniques described above in the repeat, & also featuring improvisatory passages at the end of the performance. My arrangement of the melody is much slower than this actual specific academic interpretation of the melody- I wanted the improvisations in the variations on the theme to stand out, and to better illustrate the use of lyre techniques by a more rubato approach to the melody.
Version de DamianMusicChannel4:
Explications de Hochelaga:
Lycophytes
Les Lycophytes forment le groupe le plus primitif des plantes vasculaires actuelles. Ce sont des végétaux à ramifications dichotomique, avec notamment un rhizome ou rhizophore basal dichotomiquement divisé. Leurs feuilles sont sessiles. Il s'agit de végétaux homosporés ou hétérosporés.
L'étude des genres fossiles primitifs démontre que les coiffes de leurs racines sont apparues plus tardivement que chez les autres plantes vasculaires (Euphyllophyta) et a permis d'établir que les racines des lycophytes sont une évolution convergente à celle des autres Trachéophytes. Les racines sont donc apparues deux fois dans l'évolution des plantes vasculaires3,4.
Composées de grands arbres durant l'ère Primaire (notamment les genres Sigillaria et Lepidodendron), les Lycophytes ne comprennent plus aujourd'hui que des plantes herbacées. On en compte un millier d'espèces actuelles environ.
Le frère Marie-Victorin, éminent botaniste, écrivait en 1925 que la famille des lycophytes (autrefois appelés lycopodes) regroupait des plantes « infiniment attrayantes par l’élégance de leurs formes ». Vous découvrirez que cette observation est toujours valable de nos jours pour chacune des sept espèces de lycophytes observées sur le territoire du massif des falaises.
Ces plantes aux allures de petits conifères restent petites toute leur vie et ne produisent ni fleurs, ni graines, mais se reproduisent plutôt grâce à des spores. Leur lien de parenté est plutôt du côté des fougères et des prêles. Ce ne sont pas non plus des mousses puisque, contrairement à ces dernières, les lycophytes possèdent des racines et des tissus pour faire circuler leur sève.
L’apparition des lycophytes remonte à environ 350 millions d’années. À cette époque, ils abondaient et ils étaient représentés alors par deux lignées: les individus de la première lignée pouvaient mesurer jusqu’à 40 mètres de haut et deux mètres de diamètre. Ils ont prospéré dans un climat chaud et humide pendant des millions d’années. Mais lorsque le climat s’est refroidi et asséché, seuls les représentants de la deuxième lignée, constituée de petites plantes herbacées, ont survécu. On compte aujourd’hui environ 1200 espèces de lycophytes dans le monde, dont une quinzaine au Québec.
Les lycophytes sont toujours présents, ajoutant leur touche de vert au paysage à moins d’être ensevelis sous une neige épaisse. Ils sont autant de « vestiges d’un passé disparu » qui contribuent à la beauté de nos collines laurentiennes. Nous vous proposons de faire connaissance avec eux!
La flore de Miguasha est dominée par un nombre très limité d’au plus cinq espèces. Les flores fossiles trouvées dans d’autres localités du Dévonien supérieur ont livré des assemblages plus diversifiés. Comparée par exemple aux flores du début du Frasnien de l’État de New York, il manque à la Formation d’Escuminac des groupes typiques comme les progymnospermes de type aneurophytales, des cladoxyles, des iridopterides, des lycophytes...
Astraspis (SpinoJP)
Astraspis ('star shield') is an extinct genus of primitive jawless fish from the Ordovician of Central North America including the Harding Sandstone of Colorado and Bighorn Mountains of Wyoming. It is also known from Bolivia.[2] It is related to other Ordovician fishes, such as the South American Sacabambaspis, and the Australian Arandaspis.
Plus d'infos ici.
Épitaphe de Seikilos (plus ancien exemple d'une composition musicale complète avec sa notation)
« Hóson zễis, phaínou
mêdèn hólôs sù lupoû
pròs olígon estì tò zễn
tò télos ho khrónos apaiteî »
« Tant que tu vis, brille !
Ne t'afflige absolument de rien !
La vie ne dure guère.
Le temps exige la fin (ou : son tribut). »
Ce "monde perdu" révèle un nouveau chapitre de l'évolution de la vie
L’origine des eucaryotes, ces organismes composés de cellules complexes, est l’un des chapitres les plus déterminants de l’histoire de l’évolution de la vie. Tous les animaux, les plantes et les champignons sont des eucaryotes, donc si les cellules complexes ne s’étaient pas développées sur Terre, il n’y aurait ni poissons, ni fleurs, ni champignons, ni êtres humains.
Si les plus anciens fossiles d’eucaryotes découverts à ce jour ont environ un milliard d’années, une nouvelle étude menée sur des substances chimiques conservées dans de très vieilles roches indique que ces organismes auraient eu une préhistoire, longtemps restée secrète. En effet, d’après ces vestiges chimiques, il existait des cellules complexes il y a au moins 1,6 milliard d’années.
Les substances chimiques preuves de l’existence de ces cellules sont les produits de la dégradation des molécules lipidiques présentes dans les membranes cellulaires. Ces molécules étaient jusqu’à présent passées inaperçues, car elles diffèrent de celles que l’on trouve dans les cellules modernes. « Elles sont extrêmement primitives », explique Benjamin Nettersheim, géochimiste à l’université de Brême, en Allemagne, et auteur de la nouvelle étude.
L’équipe de Nettersheim a décelé des traces de ces molécules lipidiques dans une série de roches anciennes, notamment dans la formation de Barney Creek en Australie. D’après leurs résultats, les eucaryotes primitifs étaient largement répandus entre il y a 1,6 milliard et 800 millions d’années, une période que les scientifiques ont qualifiée de « monde perdu » : celui de la vie complexe primitive.
« C’est une découverte majeure qui change radicalement notre façon de considérer les preuves apportées par les biomarqueurs et attestant de l’évolution des eucaryotes », déclare Emily Mitchell, chercheuse à l’université de Cambridge au Royaume-Uni, qui étudie les origines de l’évolution des animaux et qui n’a pas participé à l’étude.
L’ÉVOLUTION DES CELLULES
Les plus anciens organismes cellulaires sont les bactéries et les archées. Leurs cellules sont petites et n’ont que quelques structures internes contrairement aux cellules eucaryotes, beaucoup plus grandes et présentant diverses structures comme le noyau, qui abrite l’ADN, et les mitochondries, des organites en forme de haricot qui produisent de l’énergie. Les bactéries et les archées sont apparues il y a au moins 3,5 milliards d’années, bien avant que n’évoluent les eucaryotes.
Bien qu’il s’agisse d’un élément clef de l’histoire de la vie, l’origine des eucaryotes reste l’un des plus grands mystères de la biologie. Ces cellules complexes semblent être apparues il y a entre un et deux milliards d’années, une période que les scientifiques ont eu du mal à délimiter avec précision.
Le dernier ancêtre commun eucaryote (LECA), la plus ancienne espèce dont descendent tous les eucaryotes modernes, est utile pour se repérer puisque, selon les recherches génétiques, LECA aurait vécu il y a au moins 1,2 milliard d’années. Pourtant, cet organisme n’était pas le premier eucaryote.
Des eucaryotes fossiles postérieurs à LECA auraient vécu il y a environ un milliard d’années. Les plus étudiés d’entre eux sont une algue rouge multicellulaire appelée Bangiomorpha, découverte sur l’île Somerset dans le Nunavut, au Canada, et une algue verte appelée Proterocladus, originaire du nord de la Chine. Reste que ces eucaryotes primitifs ne semblaient pas être très répandus. Selon les paléontologues, ces organismes auraient commencé à se diversifier il y a 900 millions d’années seulement, et les gros animaux ne seraient apparus qu’il y a environ 570 millions d’années.
Cependant, d’autres fossiles ressemblant à des eucaryotes âgés de 1,6 ou même 1,8 milliard d’années ont été découverts. C’est le cas de Shuiyousphaeridium macroreticulatum, un organisme en forme de blob doté de courtes vrilles, retrouvé dans des formations rocheuses du nord de la Chine. Ces premiers eucaryotes semblent plus primitifs et pourraient avoir vécu avant LECA.
Déterminer comment sont apparus les eucaryotes et leur évolution à partir de fossiles aussi anciens s’est avéré une tâche ardue. C’est pourquoi Nettersheim et ses collègues sont partis à la recherche d’autres éléments de preuve pouvant les renseigner sur l’histoire des eucaryotes.
DES TRACES DE « GRAISSES » DANS LA ROCHE
Les chercheurs se sont intéressés à des substances chimiques appelées lipides, correspondant à toutes les graisses et les huiles. Ils ont plus précisément ciblé les stérols, un groupe de lipides présents dans les membranes externes des cellules eucaryotes. « Presque tous les eucaryotes produisent des stérols », explique Nettersheim. Le stérol le plus connu est probablement le cholestérol, qui joue un rôle majeur dans la biologie humaine.
Avec le temps, les stérols se décomposent en substances chimiques appelées stéranes, c’est pourquoi la présence de stéranes dans d’anciennes roches est la preuve que des eucaryotes ont habité les lieux.
On trouve de nombreux stéranes dans les roches ayant au maximum 800 millions d’années, mais aucun d’entre eux n’a été détecté dans des roches plus anciennes. À première vue, tout porte à croire que peu d’eucaryotes vivaient il y a plus de 800 millions d’années, bien que cela aille à l’encontre des preuves fossiles et génétiques.
Nettersheim et ses collègues ont décidé de voir les choses autrement. Ils sont partis de l’hypothèse que les premiers eucaryotes ne produisaient peut-être pas le même type de stérols que les eucaryotes modernes. L’équipe s’est donc intéressée aux stérols qui, aujourd’hui, ne servent que d’intermédiaires lors des mécanismes réactionnels des cellules. Selon les chercheurs, ces molécules étaient autrefois les principaux stérols utilisés par les premiers eucaryotes jusqu’à ce que des organismes plus récents soient parvenus à les convertir en molécules différentes, peut-être dotées de propriétés plus spécifiques.
« [Ces organismes] ne produisaient pas encore les mêmes lipides que les eucaryotes modernes, mais des lipides qui sont aujourd’hui des intermédiaires », explique Nettersheim.
Selon Paul Strother, paléobotaniste au Boston College, dans le Massachusetts, et qui n’a pas participé à l’étude, cette approche permet aux chercheurs d’étudier « le développement évolutif ou les précurseurs » des stérols. « Pour moi, c’est un grand pas en avant. »
L’équipe a déterminé en quelles molécules devaient se décomposer ces stérols primitifs puis a recherché ces produits de décomposition dans d’anciennes roches.
Contrairement aux stérols modernes, des vestiges de ces stérols primitifs ont été rapidement découverts dans des roches de plus de 800 millions d’années, dont notamment dans des roches vieilles de 1,1 milliard d’années issues du bassin de Taoudeni en Mauritanie et du rift de Keweenawan dans le Michigan. L’équipe en a même découvert dans la formation australienne de Barney Creek, vieille de 1,6 milliard d’années.
Selon Nettersheim, cette découverte est la solution à une énigme majeure. En effet, les données chimiques suggéraient auparavant que les eucaryotes étaient apparus tardivement, contrairement à ce qu’indiquaient les microfossiles et les données génétiques. Aujourd’hui, les données chimiques disponibles remontent plus loin dans le temps et les trois types de données s'alignent en grande partie.
« Lorsque des éléments très indépendants commencent à concorder, on dispose généralement d’un résultat très fiable », souligne Mitchell.
L'APPARITION DES ORGANISMES COMPLEXES
L’histoire réécrite est la suivante. Les eucaryotes ont commencé à évoluer il y a au moins 1,6 milliard d’années, voire peut-être deux milliards d’années. Ils utilisaient des stérols primitifs dans leurs membranes externes, mais lors d’une étape déterminante certains eucaryotes ont évolué pour utiliser les stérols actuels, et ont finalement pris le dessus il y a 800 millions d’années.
Reste que le fait de repousser l’origine des eucaryotes à au moins 1,6 milliard d’années soulève une nouvelle question : pourquoi a-t-il fallu tant de temps aux animaux, aux plantes et aux champignons complexes pour apparaître ?
Il se pourrait par exemple que les organismes multicellulaires complexes aient évolué plus tôt que ce que l’on croit. Une étude de 2019 affirme par exemple avoir trouvé des éponges fossiles, l’un des premiers groupes d’animaux, dans des roches datant d’il y a 890 millions d’années, ce qui repousserait l’origine des animaux de 350 millions d’années. Cependant, Nettersheim estime que l’on ne peut pas vraiment s’appuyer sur ces fossiles, car certains eucaryotes unicellulaires sont capables de produire des structures à l’apparence similaire.
L’équipe de Nettersheim avance plutôt l’hypothèse que les premiers eucaryotes ont dominé les écosystèmes préhistoriques et que les eucaryotes modernes n’ont pu prospérer et se diversifier qu’à partir de l’extinction de cette population antérieure. Les stérols actuels aident les eucaryotes à s’adapter à certains types de stress comme la déshydratation ou une exposition soudaine au froid, donc il se pourrait que les cellules les plus développées aient été les plus à même de survivre en cas période de stress environnemental.
Les épisodes dits « Terre boule de neige », périodes au cours desquelles le climat de la Terre s’est considérablement refroidi et a entrainé une expansion conséquente des nappes glaciaires, semblent apporter une réponse. « La Terre était potentiellement entièrement gelée ou du moins très froide », explique Nettersheim. Les épisodes de Terre boule de neige se sont produits pendant la période cryogénienne, il y a environ 720 à 635 millions d’années.
Les stérols modernes auraient ainsi pu avoir aidé certains eucaryotes à survivre pendant que les autres mouraient, et une fois la glaciation atténuée, les eucaryotes survivants pourraient s'être diversifiés en plantes et en animaux. « Nous pensons qu'il s'agit de l’une des préadaptations qui ont aidé les eucaryotes modernes à acquérir une importance écologique », explique Nettersheim.
« C’est une suggestion sensée », souligne Mitchell. « Mais je ne peux cependant ni l’affirmer ni l’infirmer. »
Strother est tout aussi prudent et souligne que nous disposons de si peu d’eucaryotes primitifs que toute nouvelle découverte pourrait bouleverser l’histoire. Selon lui, « ces paradigmes sont quelque peu fragiles ».
Ce qui semble évident, c’est que les débuts de l’histoire des eucaryotes ont été riches et complexes. Si l’évolution des stérols modernes, il y a environ 800 millions d’années, constitue un événement majeur, de nombreuses étapes importantes de l’évolution ont eu lieu auparavant. L’année dernière, Emmanuelle Javaux, de l’université de Liège en Belgique, a décrit des microfossiles d’eucaryotes âgés d’un milliard d’années en République démocratique du Congo et qui contenaient des restes de chlorophylle, preuve de la présence d’algues photosynthétiques à cette époque.
De même, en 2021, Strother et ses collègues ont décrit un autre eucaryote vieux d’un milliard d’années, appelé Bicellum brasieri, découvert dans les Highlands écossais. Ce dernier était multicellulaire et possédait qui plus est deux types de cellules : des signes précurseurs des tissus et organes des animaux et des plantes ultérieurs.
« S’il existait ce type de complexité morphologique il y a un milliard d’années, beaucoup d’autres choses ont pu se passer il y a plus de 800 millions d’années », souligne le chercheur.
A Study Says You Owe Your Existence to Just 1,280 Humans Who Almost Went Extinct
A group of researchers just published a paper in the journal Science claiming that there was a “severe bottleneck” in the human population chain—one so stark that human ancestors were down to about 1,280 breeding individuals 930,000 years ago, almost wiping out the human population.
Blaming glaciation events for the plummeting of life from about 930,000 to 813,000 years ago, the international research team claims that they have created a “novel method”—the fast infinitesimal time coalescent process—to accurately determine demographic inferences.
The new research indicates a roughly 117,000-year severe population bottleneck that would have nearly eliminated Pleistocene ancestors—removing 98.7 percent of the population—before humans could really get going. That means that, according to this study, the entire current human population can be traced back to these 1,280 individuals.
“The gap in the African and Eurasian fossil records can be explained by this bottleneck in the Early Stone Age as chronologically,” Giorgio Manzi, a senior author and anthropologist at Sapienza University in Rome, said in a news release. “It coincides with this proposed time period of significant loss of fossil evidence.”
But not everyone is convinced.
“The hypothesis of a global crash does not fit in with the archaeological and human fossil evidence,” counters Nicholas Ashton, a paleolithic archaeologist at the British Museum not involved in the study, according to Science. “Questions remain as to what triggered the bottleneck, and what, after 120,000 years, led to expansion.”
The study authors believe that glaciation events changed temperatures, caused draughts, and eliminated species potentially used as food sources for the ancestral humans—all factors that would have made life difficult for those on Earth. They don’t have an explanation for the sudden boost in population that followed.
The authors claim that in the early to middle Pleistocene era—which coincides with the prolonged period of minimal breeding individuals—an estimated 65 percent of genetic diversity may have been lost.
The study also suggests that a population squeeze may have helped differentiate between Neanderthals, Denisovans, and modern humans.
“The novel finding opens a new field in human evolution because it evokes many questions, such as the places were these individuals lived, how they overcame the catastrophic climate changes, and whether natural selection during the bottleneck has accelerated the evolution of human brain,” Yi-Hsuan Pan, senior author and evolutionary and functional genomics researcher at East China Normal University, said in a news release.
The precision of the findings, though, may be a stretch, according to group leader for population genetics at Germany’s Max Planck Institute for Evolutionary Anthropology Stephan Schiffels. He told AFP that he was “extremely skeptical” that the research could pinpoint numbers so accurately, and that it will “never be possible” for such an ancient study to be certain to such an exacting figure.
The new study relies on a freshly devised computational model—looking at 3,154 modern-day human genomic sequences while extrapolating genetic mutations—to walk back in time and show that early human ancestors suffered extreme loss of life and genetic diversity.
Schiffels, according to AFP, also noted that the data used in the research isn’t new, and that no other previous models have shown a population crash.
Janet Kelso, a computational biologist at the Max Planck Institute, told Science that this bottleneck concept may not be as widespread as the authors believe, saying that the genetic signals for it are strong only in present-day African populations. This means that any potential bottleneck would have likely been limited to certain ancestral populations. The conclusions, she says, “though intriguing, should probably be taken with some caution and explored further.”
There was “a pretty much unanimous response among population geneticists, people who work in this field, that the paper was unconvincing,” Aylwyn Scalley, a Cambridge University human evolutionary genetics researcher, told AFP.
Pontus Skoglund of the Francis Crick Institute told AFP he agrees with the others questioning the research. “It is hard,” he says, “to be convinced by the conclusion.”
Wonderful Early Silurian Life
The Waukesha Biota, a 437-million-year-old fossil assemblage from Wisconsin, USA, provides a rare glimpse into life in an ancient lagoon. In his book Wonderful Life Stephen Jay Gould (1989) compared the range of form of Cambrian animals in the Burgess Shale with only five other fossil sites in the world; one of them was at Waukesha.
Spectacular new fossils from the Waukesha Biota have been revealed for the first time.
Survival of the newest: The mammals that survive mass extinctions aren't as 'boring' as scientists thought
Extraits de l'article:
When an asteroid hit the Earth 66 million years ago, it set off a devastating mass extinction. The dinosaurs (except for a few birds) all died out, along with lots of the mammals. But some small mammals survived, laying the groundwork for all the mammals alive today.
For decades, scientists have assumed that mammals and their relatives that survived challenging times (like those during mass extinctions) made it because they were generalists that were able to eat just about anything and adapt to whatever life threw at them.
A new study into the mammal family tree through multiple mass extinctions revealed that the species that survived aren't as generic as scientists had thought: instead, having new and different traits can be the key to succeeding in the aftermath of a catastrophe.
"The idea of the 'survival of the unspecialized' goes back to the 1800s, and the conventional wisdom is that generalized animals are the least likely to go extinct. But we found that the ones that survived more often only seemed generalized in hindsight, when compared with their later descendants. They were actually pretty advanced animals for their time, with new traits that might have helped them survive and provided evolutionary flexibility," says Ken Angielczyk, the MacArthur Curator of Paleomammalogy at the Field Museum and senior author of the study in Nature Ecology & Evolution.
"What's been thought previously is that every time a new group of mammals evolves, you start out with a small generalist animal, since when disaster strikes, those are the guys that keep on trucking—they can hide anywhere, they can eat whatever is around," says Spencer Hellert, an Assistant Professor at Columbia College Chicago, a research associate at the Field Museum, and co-lead author of the study. "The kind of mammal that survives a mass extinction won't be a specialist like a panda bear that can only eat bamboo."
David Grossnickle, an Assistant Professor at the Oregon Institute of Technology and co-lead author, published a study in 2019 that highlighted how small, insect-eating mammals are often the lineages that survive challenging times, including the extinction event that killed the dinosaurs, and serve as forerunners of major diversifications. He approached Hellert and Angielczyk to see if that trend held true for earlier mammals and their ancestors.
Hellert created a massive family tree of the synapsids, the group of animals of which mammals are the last surviving members. This family tree is one of the largest fossil trees ever produced, and it takes into account all the previous family trees made by scientists for this group. This method is a more formal, rigorous, and repeatable way to summarize information from lots of trees instead of just picking a few and sticking them together.
"We couldn't test this idea without a humongous family tree," says Angielczyk, "along with general information about the animals' diets and body sizes. Then we looked at what happened over time through the five major evolutionary radiations in synapsids," when a few species branched out into greater diversity. When a new disaster led the majority of those species to go extinct, the process repeated itself.
The researchers, including co-authors Graeme Lloyd and Christian Kammerer, found that the story of synapsid evolution wasn't one of "survival of the small and unspecialized." At some points, larger synapsids were the ones that survived, and the winners weren't just generalist insect-eaters.
"We were pretty surprised—it's pretty well-established that those mammal radiations go from these small insectivores into the bigger taxa repeatedly, so I was kind of expecting to see that as we went back into synapsid history. And when we went back, that pattern starts to disappear," says Grossnickle.
While some of the survivors of mass extinctions at first appeared to be unspecialized, closer analysis revealed that they had newer, more novel characteristics. For instance, many mammals from the time of the dinosaurs had teeth that were good for cutting into prey. A few had tooth structures that acted like a mortar and pestle and were able to grind in addition to just cutting. This "fancier" tooth may have been an advantage in hard times with less food availability, because this more specialized tooth structure would have let them eat a wider variety of food.
These findings don't mean that hyper-specialized animals, like pandas that only eat bamboo, are less vulnerable to the threat of extinction than more generalist species, like raccoons that can eat a wider variety of foods. Instead, the study shows that the mammal relatives that made it through mass extinctions aren't as generic as previously assumed.
"Animals with novel traits like new tooth features, or jaws that work a little better at breaking down different food items, don't really take over ecologically until the incumbent, older lineages go extinct," says Grossnickle. "You often need an extinction event like the one that killed the dinosaurs to knock out some of those older groups, and then it allows those fancier animals to persist and diversify."
The researchers say that the results of their study have broader implications for scientists' understanding of how evolution works. "We don't really know if there is a consistent set of features typically possessed by the ancestors of evolutionary diversifications," says Angielczyk.
"The fact that we see this complexity in the diversifications of mammals and their ancient relatives means we need to examine other groups to see if the situation in mammals is an exception, or business as usual."
Even Without a Meteorite, The Stage Was Set For Dinosaurs to Go Extinct
Extraits de l'article:
A new analysis by an international team of researchers has added evidence to claims that the world prior to the asteroid blow was anything but paradise, with measures of sulfur in the atmosphere reaching critical levels.
Together with other studies on levels of mercury, the research provides a signature of volcanic activity strong enough to cause significant climate disruptions.
In 1991, the timing of this volcanic activity had been dismissed as too early to be behind the mass extinction event but more recent studies demonstrate it's possible the timing was close enough to be significant.
"Our data suggest that volcanic sulfur degassing from such activity could have caused repeated short-lived global drops in temperature," University of Oslo geoscientist Sara Callegaro and colleagues write in their paper.
The team examined rocks from the Deccan Traps – one of the largest volcanic features – in what's now West India. They applied a new technique they developed for measuring sulfur concentrations.
Models suggest sustained sulfur emissions from the Deccan Traps were enough to substantially alter the global climate. This volcanic region alone released a staggering one million cubic kilometers of molten rock.
What's more, formation of the highly concentrated sulfur containing lava at Thakurvadi to Bushe, within the region, coincides with the cooling Cretaceous climate, the team notes.
While much of the basalt in the area is generally low in sulfur, this could indicate the climate – cooling molecule was slowly released into the atmosphere from the hardened magma following eruptions.
As a result global temperatures could have plummeted in bouts of up to 10°C, between rapid recovery periods, within 100,000 years before the Chicxulub meteor delivered that final blow.
Columbia (supercontinent)
Columbia (également connu sous les noms de Nuna et, plus récemment d'Hudsonland ou Hudsonia) est un des premiers supercontinents qui aurait existé il y a environ 1,5 à 1,8 milliard d'années (Ga) pendant l'ère paléoprotérozoïque. Il a laissé des cratons qui se retrouvent sur les continents Laurentia et Baltica, ainsi qu’en Ukraine, en Amazonie, en Australie, peut-être en Sibérie, dans le nord de la Chine et dans le Désert du Kalahari. L'existence de Columbia est basée sur l'interprétation de données paléomagnétiques.
Taille et position
L'extension de Columbia est estimée à environ 12 900 km du nord au sud et 4 800 km dans sa plus grande largeur. La côte orientale de l'Inde était rattachée à l'ouest de l'Amérique du Nord, l'Australie du sud étant au contact du Canada occidental. La plus grande partie de l'Amérique du Sud était orientée de façon que la bordure ouest du Brésil moderne soit dans le prolongement de l'Amérique du Nord, formant une marge continentale qui s'étendait jusque sous la côte sud de la Scandinavie.
Province du Supérieur
La Province du Supérieur, ou craton du Supérieur, est un craton couvrant le Québec, l'Ontario, le sud-est du Manitoba au Canada, et le nord du Minnesota aux États-Unis. C'est le plus grand craton formé au cours de l'Archéen1. Il a subi une série d'événements de 4,3 à 2,57 Ga qui comprenaient la croissance, la dérive et la déformation des croûtes océaniques et continentales.
Habitation du Paléoindien ancien
Reproduction de Michael Gramly d'une habitation du Paléoindien ancien au site Adkins inspirée des Inuit, créée pour l'exposition «Clovis peuple chasseur de caribous» qui se trouve à Lac Mégantic. Le Musée de la nature et des sciences de Sherbrooke a acheté des peaux de caribou et les a fait traiter
(Merci à Claude Chapdelaine)
Comment un outil préhistorique s'est-il retrouvé sur cette peinture française du 15ème siècle?
Les haches Acheuléennes fascinent depuis longtemps les historiens. Avant le XVIIe siècle, on pensait qu'elles étaient naturelles, surnommées "pierres de foudre". Une équipe de Dartmouth et de l'Université de Cambridge a identifié une représentation d'une telle hache dans le "Diptyque de Melun", commandé par Étienne Chevalier, trésorier du roi Charles VII de France. L'objet est délicatement posé sur le Nouveau Testament tenu par Saint Étienne.
La pierre sur le tableau a toujours été considérée comme une simple roche. Steven Kangas, enseignant en histoire de l'art à Dartmouth et co-auteur de l'étude, a eu l'intuition qu'il s'agissait d'un outil préhistorique. Cette hypothèse a été confirmée lors d'un séminaire en 2021 avec Charles Musiba, professeur d'anthropologie à l'Université du Colorado-Denver, et Jeremy DeSilva, co-auteur et professeur à Dartmouth.
Pour valider cette découverte, trois analyses ont été menées. La forme de la pierre a été comparée à celle de 20 haches Acheuléennes françaises. Les couleurs et les traces de débitage sur la pierre ont également été examinées. Les résultats ont confirmé l'authenticité de cette représentation artistique d'une hache Acheuléenne.
La précision de Fouquet soulève des questions. L'artiste aurait-il vu une véritable hache ou s'agissait-il d'une création de son imagination? "Fouquet semble avoir porté un intérêt particulier à l'objet en pierre", indique Kangas. Cette découverte jette une nouvelle lumière sur la longévité et la signification culturelle des haches Acheuléennes, utilisées bien avant l'apparition d'Homo sapiens en Europe.
Plant Life Through the Ages
Panel 1: Age of Stromatolites
Late Archaean Eon — 3,500-1,250 million years ago
Panel 2: Rhynie Chert Flora
Early Devonian Period — About 400 million years ago
Panel 3: Rise of a Land Flora
Early and Middle Devonian Period — 416–385 million years ago
Panel 4: First Forests
Late Devonian Period — 385-360 million years ago
Panel 5: Carboniferous Coal Swamp Forests
Late Carboniferous Period — 323-300 million years ago
Panel 6: Age of Gymnosperms
Triassic Period through early Early Cretaceous Period — 250–130 million years ago
Panel 7: Rise of the Flowering Plants
Late Early Cretaceous Period through Cretaceous Period —130–65 million years ago
Panel 8: Plants and Human Affairs
The Holocene Epoch — The last 11,500 years
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