Jésus a-t-il existé? (The Rest Is History)

Voici l'opinion d'historiens qui croient que Jésus est une figure historique:






Ahvaytum bahndooiveche



Extraits de l'article:

Une nouvelle espèce de dinosaure a été découverte en Amérique du Nord. Jusque-là, rien de surprenant, de nombreux fossiles ayant été retrouvés dans l'hémisphère Nord. Mais cet animal est particulier. En effet, il est vieux, très vieux. Selon les paléontologues qui ont participé à sa description, il pourrait même être contemporain des plus anciens dinosaures connus – tous issus de l'hémisphère Sud. La question a beau rester en débat, le consensus a plutôt tendance à situer l'origine des dinosaures aux hautes latitudes de cette partie du globe.

Les dinosaures se seraient ensuite répandus vers le Nord au fil des millions d'années. « En décrivant un dinosaure très ancien en provenance d'Amérique du Nord, les auteurs de cette nouvelle étude relativisent cette conception », souligne le paléontologue français Eric Buffetaut. Partons donc à la rencontre de l'objet de la discorde, le dinosaure prénommé Ahvaytum bahndooiveche...

Ahvaytum a été extrait en 2013 des dépôts paléoéquatoriaux de la formation géologique du Trias (-252 à -201 millions d'années) Popo Agie, dans le Wyoming (États-Unis). Le fossile se limite à l'astragale gauche de l'animal – un os du pied. Des années et des années d'analyse ont tout de même permis aux paléontologues de comprendre que cet os appartenait à un dinosaure sauropodomorphe.

Ce groupe incluait notamment les sauropodes, des dinosaures herbivores qui apparaîtront plus tard, avec des espèces gigantesques comme les fameux titanosaures. Rien à voir toutefois avec Ahvaytum, beaucoup plus petit que ces géants. Le spécimen adulte découvert en Amérique du Nord ne devait pas dépasser 30 centimètres de haut pour à peine 1 mètre de long. D'après le régime alimentaire de ses proches cousins, Ahvaytum était probablement omnivore.

(...) Ahvaytum est vieux, certes, mais à quel point ? D'après la datation radio-isotopique des roches qui l'abritaient, le fossile serait âgé d'environ 230 millions d'années. Jusqu'ici, le record de vieillesse pour un dinosaure d'Amérique du Nord était détenu par Lepidus praecisio. Ce dinosaure théropode issu des carrières de l'ouest du Texas (États-Unis) était âgé d'au minimum 221 millions d'années. Soit 6 à 10 millions d'années plus jeune que des genres comme Herrerasaurus, Panphagia et Eoraptor, en provenance de l'Argentine actuelle. Pour Eric Buffetaut, voilà pourquoi « ces derniers temps on avait tendance à situer l'origine des dinosaures sur les continents du Sud, en particulier l'Amérique du Sud ».

Des hypothèses ont été avancées pour tenter d'expliquer cet écart temporel entre l'apparition des dinosaures du Nord et du Sud. Par exemple, des barrières environnementales auraient pu isoler les faunes des hautes latitudes. Et ce jusqu'à l'arrivée de l’Épisode Pluvieux du Carnien (-234 à -232 millions d'années), caractérisé par un climat plus humide transformant de vastes régions désertiques en habitats plus favorables pour les animaux. L'apparente absence d'anciens dinosaures dans l'hémisphère Nord pourrait également être due à un simple biais dû au manque de strates terrestres situées entre -237 et -227 millions d'années dans l'hémisphère Nord.

Et dans ce cas, il aurait bel et bien existé des faunes dinosauriennes du Nord dans un lointain passé. « Je ne vois en effet rien d'extraordinaire à ce qu'il y ait des dinosaures au Sud et au Nord, pour la simple et bonne raison qu'au Trias les continents étaient réunis en un bloc unique : la Pangée, composée du Gondwana au Sud et de la Laurasie au Nord. Sans barrières majeures, les faunes terrestres d'alors étaient libres de se disperser », conclut Eric Buffetaut. Les dinosaures auraient donc été déjà largement répandus à la surface du globe il y a de cela quelque 230 millions d'années...



Manicouagan






Trouvé ici.


Immortality (Ren Lee)







 

Une supernova a-t-elle eu un effet sur l'évolution?



Extraits de la nouvelle:

Radiation from an exploding star may have had a profound effect on the evolution of life on Earth, a new study suggests.

About 2.5 million years ago, the viruses infecting fish in Africa"s Lake Tanganyika underwent a mysterious and rapid explosion in diversity. Yet the exact cause of this change has remained a mystery.

Now, a new study has found that the upswing in the types of viruses found in the lake happened at the same time that our planet was being pummeled by cosmic rays from an ancient supernova — suggesting a possible link between the two events. The researchers published their findings Jan. 17 in The Astrophysical Journal Letters.

"It’s really cool to find ways in which these super distant things could impact our lives or the planet"s habitability," lead author Caitlyn Nojiri, an astrophysicist at the University of California, Santa Cruz, said in a statement. "We saw from other papers that radiation can damage DNA. That could be an accelerant for evolutionary changes or mutations in cells."

Lake Tanganyika, in East Africa"s Great Rift Valley, is one of the largest freshwater lakes on the planet; it spans about 12,700 square miles and divides four nations — Burundi, the Democratic Republic of the Congo (DRC), Tanzania and Zambia. The lake is home to more than 2,000 species, more than half of which aren’t found elsewhere. This means that, according to the World Conservation Union, "no place on earth holds such a variety of life."

One factor that may have driven this diversification is radiation, the study authors propose. Scientists already know that energetic particles in space, known as cosmic rays, can damage the cells of astronauts to cause accelerated aging and that bombardments from these particles could be responsible for the structural preference of biological molecules known as chirality. Yet just how much of a role these space rays played in the history of evolution is relatively unexplored.

To investigate this question, the researchers behind the new study dug up and examined core samples retrieved from the seafloor. They found that it was rich in an isotope of iron called iron-60, which is commonly produced by stellar explosions. By radioactively dating this isotope, they found that the iron-60 within their sample split into two separate ages: one that formed 6.5 million years ago and another that was 2.5 million years old.

To trace the origins of this isotope, the researchers simulated the sun’s movement through the Milky Way. They discovered that roughly 6.5 million years ago, our solar system and star passed through the Local Bubble — a lower-density region of the Milky Way’s Orion Arm that is littered with debris from exploded stars.

The analysis then revealed that the later spike likely came from a supernova, either from a group of young stars in the Scorpius-Centaurus group 460 light-years away, or the Tucana-Horologium group 230 light-years away. By conducting a simulation of a near-Earth stellar explosion, the scientists found that such an event would have rained cosmic rays upon Earth for 100,000 years after the initial blast, creating a pattern matching that of the spike found in the sediment.

If their assumptions are correct and this event actually happened, it would have been powerful enough to penetrate Earth’s atmosphere and snap DNA strands in half — explaining the coinciding explosion of diversity in viruses discovered in Lake Tanganyika.

Although the scientists cautioned that this connection is far from certain, it does raise the possibility that powerful cosmic events may have sculpted life on our planet more significantly than scientists first thought.

"We can't say that they are connected, but they have a similar timeframe," Nojiri said. "We thought it was interesting that there was an increased diversification in the viruses."