« Je n’ay plus de teste (trop en colère à cause de raids Iroquois), je ne sçaurois prier ; les Hiroquois, m’ayant osté la teste, m’ont ravy l’esprit : je ne vis plus, tous mes compatriotes sont morts. Quand je verray de grandes chaudieres boüillantes remplies de la chair de nos ennemis, quand mon estomach et mon ventre en seront farcis, alors l’esprit me reviendra. »
Paroles d’un Algonquin rapportées par Barthelemy Vimont, Relations des Jésuites, 1642. (illustration de Theodor de Bry)
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