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Le shattercône
Les shattercônes, appelés aussi cônes de pression ou encore cônes de percussion, constituent une fracturation très particulière de la roche en place engendrée par le passage de l'onde de choc dans la croûte terrestre lors d'une collision météoritique de grande envergure.
Les shattercônes, qui ne se forment qu'à des pressions phénoménales, se présentent, comme le nom le dit, sous forme de cônes regroupant de fines ciselures disposées en " queues de cheval".
Ces véritables sculptures naturelles d'origine extraterrestre sont des objets fractals (figures se ramifiant selon un patron identique) d'un esthétisme remarquable, surtout lorsqu'on les retrouve dans des roches à grains fins comme le calcaire.
C'est le cas du cratère de Charlevoix où les shattercônes peuvent être d'une beauté exceptionnelle.
Le cratère de Charlevoix est la première structure d'impact terrestre découverte à partir des shattercônes.
Trouvé ici.
Trouvé ici.
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L'impactite
L'impactite est une roche de fusion (magma) résultat d'un impact météoritique terrestre catastrophique.
Au moment de la collision, la croûte terrestre se trouve vaporisée ou liquéfiée instantanément à plus de 3 000 degrés Celsius aux environs du point d'impact et des quantités phénoménales de matière en fusion sont éjectées dans l'atmosphère ou se répandent à l'intérieur du cratère.
Dans le cas des impacts majeurs comme Charlevoix, il s'avère impossible de retrouver des fragments de la météorite puisque celle-ci se désintègre totalement au moment de la catastrophe.
Par contre, l'impactite constitue la principale preuve tangible de cet événement cosmique. Cette roche très particulière peut contenir des fragments de croûte terrestre non fondus et même des éléments de la météorite. Elle permet de distinguer les cratères d'origine volcanique de ceux d'origine météoritique.
C'est aussi grâce à elle que les scientifiques peuvent dater approximativement le moment du cataclysme. Dans le cas de Charlevoix, l'analyse de l'impactite a révélé des datations situées entre 350 et 360 millions d'années. Elle se présente sous forme d'une roche magmatique massive présentant souvent une cristallisation étoilée très particulière de type spinifex.
Trouvé ici.
Le shattercône
Les shattercônes, appelés aussi cônes de pression ou encore cônes de percussion, constituent une fracturation très particulière de la roche en place engendrée par le passage de l'onde de choc dans la croûte terrestre lors d'une collision météoritique de grande envergure.
Les shattercônes, qui ne se forment qu'à des pressions phénoménales, se présentent, comme le nom le dit, sous forme de cônes regroupant de fines ciselures disposées en " queues de cheval".
Ces véritables sculptures naturelles d'origine extraterrestre sont des objets fractals (figures se ramifiant selon un patron identique) d'un esthétisme remarquable, surtout lorsqu'on les retrouve dans des roches à grains fins comme le calcaire.
C'est le cas du cratère de Charlevoix où les shattercônes peuvent être d'une beauté exceptionnelle.
Le cratère de Charlevoix est la première structure d'impact terrestre découverte à partir des shattercônes.
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L'impactite
L'impactite est une roche de fusion (magma) résultat d'un impact météoritique terrestre catastrophique.
Au moment de la collision, la croûte terrestre se trouve vaporisée ou liquéfiée instantanément à plus de 3 000 degrés Celsius aux environs du point d'impact et des quantités phénoménales de matière en fusion sont éjectées dans l'atmosphère ou se répandent à l'intérieur du cratère.
Dans le cas des impacts majeurs comme Charlevoix, il s'avère impossible de retrouver des fragments de la météorite puisque celle-ci se désintègre totalement au moment de la catastrophe.
Par contre, l'impactite constitue la principale preuve tangible de cet événement cosmique. Cette roche très particulière peut contenir des fragments de croûte terrestre non fondus et même des éléments de la météorite. Elle permet de distinguer les cratères d'origine volcanique de ceux d'origine météoritique.
C'est aussi grâce à elle que les scientifiques peuvent dater approximativement le moment du cataclysme. Dans le cas de Charlevoix, l'analyse de l'impactite a révélé des datations situées entre 350 et 360 millions d'années. Elle se présente sous forme d'une roche magmatique massive présentant souvent une cristallisation étoilée très particulière de type spinifex.
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